Folklore et Théâtre au
Japon
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Kinoshita Junji et les contes
populaires
par Toshiko Mori
Kinoshita
Junji est certainement le plus important
dramaturge japonais. Or, à côté d’un certainement
le plus important dramaturge japonais. Or, à côté
d’un certain nombre de pièces de théâtre politique
qui ont joué un grand rôle dans le processus de
démocratisation du Japon, il a composé de
nombreuses adaptations de contes populaires pour
la scène, la télévision ou la radio. C’est à ces
dernières que l’auteur a consacré cet ouvrage. En
utilisant aussi bien les oeuvres elles-mêmes que
les écrits théoriques de Kinoshita, elle est
parvenue à montrer, de façon claire et
convaincante, comment un écrivain moderne a pu, à
travers le monde de contes très anciens, trouver
les chemins d’un imaginaire qui touche au plus
profond de l’homme japonais moderne.
Format: 24x16cm
210
pages |
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Le dieu masqué - Fêtes et théâtre
au Japon
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par Gérard Martzel
Le
passage d’une année à l’autre est une période
d’intense activité religieuse dont les momets
culminants sont marqués par le solstice d’hiver et
les différents jours de l’An, pendant lesquels ont
lieu des fêtes où rites et danses sont exécutés
par des personnages masqués. Ce livre décrit et
explique l’origine de ces fêtes. Cortèges qui se
rendent de maison en maison à l’occasion du grand
et du petit jour de l’an; illustration de la
vieille croyance populaire aux visiteurs de l’An
neuf dont la venue apporte le bonheur et chasse
maladies et calamités; danses et pantomimes
exécutées dans les fermes par les membres des
communautés culturelles qui revêtent alors des
costumes souvent étranges et dissimulent leurs
traits sous des masques de divinités souriantes ou
effrayantes.
L’un de ces personnages, le vieil
Okina, d’abord visiteur de l’An neuf, est devenu
un important personnage du théâtre religieux. On
le trouvera tel qu’il se présente dans la
tradition savante des grands sanctuaires et dans
la tradition populaire.
Certaines
particularités de ce théâtre sacré qui subsiste,
sans grand changement, depuis l’époque précédant
la création du Nô, permettent d’avancer
l’hypothèse d’une influence des pièces religieuses
présentées à l’occasion du changement d’année sur
la formation du théâtre classique, et avant tout,
sur le Nô qui a été créé, au quinzième siècle,
pour le seul plaisir des spectateurs.
Cet
ouvrage a été réalisé par Gérard Martzel qui a
longtemps séjourné dans le Tohoku, lieu privilégié
de ces fêtes. N’est-ce pas l’ancien Michinoku où
le poète Bashô, à la fin du XVIIe siècle, fit un
voyage rendu célèbre par son récit, Oku no
hosomichi, “La sente étroite du bout du monde”?
Format: 24x16 cm
340
pages |
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